Positionnement et avenir du elearning
De l'enseignement à distance
au e-learning
Aujourd'hui, enseignement et
formation à distance, enseignement à distance en ligne (e-learning),
e-formation, campus virtuel sont quelques uns des termes utilisés. Ils
désignent des dispositifs qui, d'une part, permettent une mise à disposition
personnalisée des ressources pédagogiques, l'accès à de la documentation
scientifique, à de nombreux outils logiciels ou didacticiels et qui, d'autre
part, favorisent les apprentissages individuels, l'acquisition des connaissances,
le traitement intelligent de l'information scientifique et technique.
Par exemple, les universités qui doivent répondre à une demande en forte
augmentation de formation initiale et de formation continue tout au long de la
vie proposent les campus virtuels. Ceux-ci permettent une gestion à distance, à
la fois, de l'apprentissage, de l'accès aux ressources et de l'interaction
entre toutes les parties prenantes de la communauté éducative.
Une autre notion, le e-learning ou formation en ligne, désigne des cours
dispensés depuis un ordinateur relié à un Intranet ou à Internet.
Enseignement à distance et
nouvelles technologies semblent donc étroitement liées. De ce fait, de nombreuses
expérimentations sont menées dans le but d'étudier les contributions possibles
de nouvelles technologies dans la formation à distance : leurs avantages et
leurs contraintes, leur accessibilité, les moments du processus de formation
dans lesquels leur intervention est efficace constituent des exemples de thèmes
d'études.
L'enseignement à distance existe dans le monde entier. En France, il est
dispensé pour une grande part par le CNED (Centre National d'Enseignement à
Distance) mais aussi par des établissements privés ou par des institutions de
formations tel que le CNAM ou les universités. Certaines entreprises privées
ont également recours à des dispositifs internes de formation à distance.
Ainsi, l'enseignement à distance
se définit par une séparation spatiale et/ou temporelle entre l'apprenant et
l'enseignant et par un recours à des technologies éducatives.
Cet enseignement constitue un dispositif pédagogique ouvert à des étudiants qui
ne peuvent pas participer sur place aux cours et travaux dirigés dispensés dans
des centres d'enseignement mais aussi à des personnes qui désirent poursuivre
leur formation initiale, acquérir de nouveaux savoirs ou valider des acquis
professionnels.
La bibliographie qui suit n'est
pas exhaustive (les études, par exemple, sur la visioconférence ou la
télématique n'y figurent pas). Elle a pour but de fournir des références
générales sur l'enseignement à distance et se veut être un point d'encrage pour
tous les lecteurs désireux d'avoir une première approche du sujet.
L'elearning fournit un retour plus rapide et
plus élevé sur l'étude :
Productivité, exécution et compétitivité
d'elearning. Elle permet à des compagnies de développer des compétences de main
d'oeuvre et accélère la vitesse à laquelle elles sont acquises. Elle fournit
l'étude supérieure aux coûts réduits ; les augmentations accèdent à l'étude ;
et les offres dégagent la responsabilité pour tous les participants à
l'apprentissage.
Source : http://www.cisco.com/ca/events/elearning.shtml
Accessibilité du e-learning :
Le eLearning et sa main-d'oeuvre, quels en sont
les défis ?
Profil de la main-d’œuvre de l’industrie du eLearning au Québec.
Réalisée en collaboration avec l’Alliance numériQC qui en fait la diffusion.
Quelques constats:
Le marché mondial du eLearning atteindra 23 milliards de dollars américains en
2004 (IDC).. Le taux annuel de progression prévu par IDC est de près de 70 %.
Le Québec possède des atouts certains pour se positionner avantageusement dans
ce marché : multilinguisme, industrie du multimédia et institutions d’enseignement
supérieur de qualité. Mais les défis sont nombreux.
Les entrevues et le sondage réalisés dans le cadre de la présente étude ont
permis de rejoindre 26 entreprises (sur 32) qui embauchent au total 959
personnes dont 531 (55 %) se consacrent principalement aux activités reliées au
eLearning.
Les perspectives d’embauche sont relativement élevées et les employeurs
mentionnent peu de difficultés de recrutement.
Les fonctions de travail stratégiques pour l’industrie sont : programmeur,
technologue éducationnel, rédacteur technique, infographiste, intégrateur et
gestionnaire de projet. La définition de ces fonctions et les exigences qui y
sont reliées varier considérablement selon les entreprises.
Contactez l'Alliance numériQC pour obtenir une copie de l'étude ou encore
assister au dévoilement des résultats de l'étude, le 18 juin prochain. Pour
réservation : www.numeriqc.ca